Abus de pouvoir

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Le contrat de progrès, c'est aussi des conducteurs qui manipulent le stylet du chronotachygraphe à leur guise. Sans parler des chargeurs ou réceptionnaires qui bafouent la loi. Une réaction de Georges Gallix (67) à l'enquête « Le contrat de progrès dix ans après » parue dans L'OT 2286.

C'est avec beaucoup d'attention que j'ai lu votre enquête et je ne peux m'empêcher de réagir. En effet, tous les intervenants qui ont participé à l'élaboration de ce contrat de progrès ont surtout borné les obligations des employeurs par rapport à leurs salariés mais n'ont pas pu tenir compte du paramètre « temps normal d'exécution d'une tâche » qui peut varier du simple au double selon que ce soit un conducteur consciencieux ou un conducteur intéressé (comprenez ce que vous voudrez). Tous les transporteurs de « terrain » comme moi comprendront aisément cette remarque qui a encore pris plus de sens avec la mise en place de ce contrat. Effectivement, ce contrat de progrès devait être fait pour permettre aux conducteurs d'être payés de toutes les heures passées au service de leur patron, mais, très vite, la manipulation du styl

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