Comment amortir le choc des cultures

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Comment amortir le choc des cultures

Les transporteurs doivent séduire les jeunes s'ils veulent pérenniser leurs entreprises. Mais entre les deux « mondes », l'incompréhension est parfois grande. Comment la profession peut-elle créer des vocations et fidéliser les nouvelles générations ? Le GEIQ des « Trois provinces » (44) esquisse des pistes.

Le 25 novembre, le GEIQ des « Trois provinces » (Groupements d'employeurs pour l'insertion et la qualification), à Clisson (44), a organisé un débat sur « l'intégration des jeunes dans les entreprises » avec le concours de transporteurs routiers, de professionnels de l'insertion et de sociologues. Force est de constater que, dans le contexte de nombreux départs en retraite attendus (notamment chez les conducteurs), des dirigeants et responsables cherchent à « apprivoiser » les jeunes générations et à les garder en entreprise.

Imprévisibles

Leurs premières surprises viennent souvent du comportement des jeunes dans le travail. « Le plus difficile, c'est le manque de ponctualité. Inconcevable, dans une entreprise de transports d'aujourd'hui, d'arriver au travail avec une demi-heure ou trois quarts d'heure de retard ! Autr

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