Il aura fallu près de deux ans - d'avril 2003 à février 2005 - aux organisations professionnelles de la branche transport-logistique de Rhône-Alpes pour faire déboucher leur Contrat d'études prospectives (CEP) sur un Contrat d'objectifs emploi-formation (L'OT 2215). « Ce délai s'explique en partie par le changement politique à la tête de la Région, indique Sylvie Plotton, secrétaire générale de l'Altra (Académie logistique transport Rhône-Alpes), émanation commune des organisations patronales (1). Mais surtout, nos partenaires publics - Etat et Région - ont exigé que les entreprises soient impliquées directement ». C'est pourquoi le CEP, comme aujourd'hui le contrat d'objectifs, a été élaboré sans l'AFT-IFTIM : l'organisme de formation risquait d'être à la fois juge et partie. « Il n'existe aucune volonté d'écarter ce groupe, qui doit rester un outil pour la br
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