La faible valeur ajoutée de la matière première à transporter et la spécificité d'une activité qui requièrent de solides compétences et matériels font que les transporteurs de billes de bois se sentent toujours en marge de la profession. De plus, l'avancée en âge de quelques spécialistes, qui vont bientôt prendre leur retraite sans avoir de successeurs désignés, inquiète la filière. Laquelle se pose la question de qui va alimenter les scieries et les usines de pâte à papier. Cette réalité a donné l'idée à Jacques Sturm, président de l'Afocel, organisme professionnel d'étude mis en place par la filière bois, d'intituler sa conférence de la SITL « Quelles perspectives durables pour le transport de bois ». Sous-entendu : une pénurie d'acteurs n'est-elle pas à craindre ?
Pourtant, il semble que l'activ
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