J'adhère tout à fait à la réflexion de Georges Gallix parue dans L'OT 2294 (du 21 janvier 2005) et m'associe à son combat contre l'injustice. Le progrès a vite trouvé son camp quand la manipulation du stylet du chronotachygraphe a beaucoup agrémenté le temps de service dans l'intérêt du chauffeur et au détriment de celui de l'Entreprise. Le sujet est très sérieux pour qu'il ne s'apparente pas à un retour « d'une autre époque », mais à la prise de conscience des dangers d'un accord qui a voulu faire la transparence des temps sans donner à la partie payante les moyens incontestables d'en rétribuer le véritable travail, fragilisant notre profession par la stricte application des textes lorsqu'un litige oppose le salarié à son employeur.
Il est inconcevable qu'aujourd'hui, une réglementation permette la perversité et fasse l'objet d'appréciation, d'interprét
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