«Notre entreprise n'atteint pas tout à fait le seuil des 50 salariés et personne ne semble intéressé par une quelconque formule d'épargne salariale, lance Cyril Desaize, directeur général des Transports Frereux (35). Chez nous, les revendications portent plutôt sur les salaires, sur une augmentation directe et fixe. Nous n'avons donc pas le souhait de mettre quoi que ce soit en place ». Le dirigeant de l'entreprise bretonne, qui emploie 49 personnes pour un chiffre d'affaires de 5 089 K€, donne le ton : l'épargne salariale n'est pas vraiment à l'ordre du jour dans les PME du transport. Et carrément inexistante dans les très petites structures.
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?