Chacun le sait : la mise en place de l'outil électronique a pour vocation de mettre sur un même pied d'égalité tous les transporteurs européens des 29 pays concernés. À ce propos, la Direction du Transport Terrestre (DTT) souligne : « sujet à des fraudes de la part des utilisateurs et créant des situations de concurrence (sur un million de véhicules contrôlés en 2002, environ 70 000 fraudes ou tentatives de fraudes ont été constatées), le chronotachygraphe mécanique posait aussi des problèmes d'exploitation et de fiabilité en raison notamment du système de lecture des données des disques ». Fort de ce constat, l'Union européenne veut imposer le nouvel appareil de contrôle. Stéphane Levesque, délégué aux activités routières de TLF, confirme : « Le chronotachygraphe électronique se présente avant tout comme un outil de contrôle. Une sort
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