Les dessous d'une fin prévisible

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Les dessous d'une fin prévisible

En février, les repreneurs américains de Trans-Cuisinier s'étaient engagés à verser plus d'un million d'euros pour relancer l'entreprise. Pourtant, pendant 7 mois, jusqu'à la liquidation le 25 août, la plupart des fournisseurs (assurance, garages, entreprise d'intérim...) et institutions (Urssaf, recette des douanes...) n'ont pas été payés et la société n'a pas eu de licence ni d'attestation de capacité. Le parquet de Tulle a saisi le SRPJ pour enquête préléminaire.

«J'essaie de comprendre quel merdier infernal a pu être la gestion de Trans-Cuisinier ». Gilbert Henry, le vice-procureur du tribunal de grande instance de Tulle (19), ne mâche pas ses mots pour décrire la situation qu'il a découverte dans l'entreprise spécialisée dans la traction longue distance. Il a saisi dès le mois d'avril le SRPJ (service régional de police judiciaire) de Limoges « pour tenter de déterminer quelles infractions ont été commises depuis 2002 ». Le vice-procureur s'interroge sur « les conditions de la vente à La Bussière» et sur «la reprise en février 2005» par Global Concept. L'entreprise corrézienne comptait alors 186 salariés.

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