Une indexation qui tait son nom

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Rendre obligatoire l'application d'un indice « gazole » tout en respectant le principe de la liberté contractuelle. C'est la rude mission que s'est imposé le gouvernement suivant en cela les préconisations de la FNTR. En l'état, le projet de texte soumis par Dominique Perben au Parlement ne brille pas par sa précision. Sa rédaction pour le moins emberlificotée dénote une volonté farouche de ne pas « faire de vagues ». C'est qu'il faut, sur ce dossier, ne heurter ni les opposants à toute initiative susceptible de favoriser la renaissance d'une économie administrée, ni les donneurs d'ordres, ni les parlementaires. A preuve, l'emploi du terme « indexation » se voit soigneusement banni. Bref, le décret d'application ne sera pas de trop pour clarifier les modalités pratiques du mécanisme. Et, donc, pour établir la marge de manoeuvre laissée aux transporteurs qui, pour des raisons qui leur appartiennent, ne souhaiteraient pas s'y inscrire. Des professionnels qui, pour certains, crient au « retour à la TRO ». Or, ironie du sort ou juste retour des choses, c'est sur les travaux réalisés par le Comité national routier que repose tout le futur dispositif. Un orga

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