L'O.T. : Comment évolue l'activité de votre entreprise ?
P. G. : Notre objectif est clair : équilibrer le bilan. Il n'est pas raisonnable d'envisager de dégager un résultat important compte tenu de la conjoncture depuis deux ans dans le monde de la viticulture. En trois ans, les données ont considérablement changé avec la baisse de la consommation de vin en France. On ne peut plus se permettre, par exemple, de faire des trajets à vide. Cette évolution est aussi liée à la concentration du marché, à une concurrence accrue ces deux dernières années. Les prix sont tellement tendus que chaque retour à vide grève sensiblement la rentabilité. Nous avons réfléchi à une approche commerciale différente pour trouver des clients sur des zones d'où l'on revenait à vide, notamment sur les trafics qui concernent notre activité régionale, qui s'étend de Lyon �
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