Une dirigeante presque trop réactive ?

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Avec trois contrats de professionnalisation et trois demandes de DIF, l'entreprise Pejy (42), spécialisée dans le transport de gaz en bouteilles, n'a pas traîné pour mettre en oeuvre la réforme. Au point que sa dirigeante, Marie Pupier, s'énerve des retards.

«Je fouine partout, parce que la formation me passionne », voilà pourquoi Marie Pupier est responsable de ce domaine au sein de l'entreprise de transport familiale, Pejy, à La Talaudière (42) et s'y implique au sein de la FNTR et de TLF. Voilà aussi pourquoi elle est toujours au courant très rapidement de tout nouveau dispositif : l'année dernière, par exemple, elle a expérimenté avec des salariés la formation par internet ou encore la VAE (Validation des acquis de l'expérience). Cette année, c'est la réforme de la formation professionnelle, qu'elle a actée depuis plusieurs mois : « Nous avons trois contrats de professionnalisation en cours, dénombre-t-elle. Deux pour des adultes et le dernier pour un jeune. Ce contrat remplace bien les anciens, que j'utilisais tous largement. Il offre davantage de possibilités pour les adultes et s'avère plus souple pour l'organisat

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