Entreprises mises sous tension

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Récentes particitations des investisseurs financiers dans le TRM

Avec le Capital-développement, le dirigeant reste maître chez lui. De leur côté, les fonds d'investissement préfèrent prendre le contrôle de l'entreprise cible. Quitte à faire tomber des têtes et à chambouler les organisations ? Observons les faits dans le transport.

Pour une entreprise, l'appel au capital-développement est-il préférable à l'arrivée d'un fonds d'investissement ? Avec le « Capital Equity », le dirigeant reste patron à bord. Normal puisque l'investisseur est minoritaire. « Le Capital-développement permet à des dirigeants ambitieux d'être les consolidateurs de leur marché sur des secteurs très fragmentés. Nous les aidons à procéder à des acquisitions. Soit en direct soit via une opération de levier », assure Tristan Parisot, directeur chez le fonds d'investissement 3i France (Investors In Industry). Le fonds d'investissement a organisé à ce type d'opération à effet de levier en 2001 avec le groupe Transalliance dont 3i a détenu 40 %. À l'époque, le groupe lorrain appartenait au CDR (Consortium de réalisation du Crédit Lyonnais). Lequel avait vocation à revendre ses actifs afin d'alléger l'endettem

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