D'un côté, il y a des demandeurs d'emploi. De l'autre, des transporteurs qui ont besoin de main d'oeuvre. Au centre, les structures institutionnelles ou associatives travaillent à mettre en phase les deux parties. Leurs outils : l'information et la formation. « En Loire Atlantique, des personnes ont toutes les habilitations nécessaires pour conduire. Elles pourraient être sur le marché de l'emploi, mais n'ont pas de travail car les entreprises recrutent peu ou pas du tout. C'est lié à la situation économique et au manque de lisibilité quant à l'avenir », observe Hubert Leray, directeur du Groupement d'employeurs pour l'insertion et la qualification (GEIQ) des Trois Provinces (44) qui fédère une trentaine d'entreprises. « Avec un an d'expérience, un conducteur peine à se faire embaucher. Or, nous entendons toujours dire qu'il manque du personnel. Or, ce ne sont jamais les trans
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?