Dans la création d'un groupement, tout commence souvent par un désir commun d'entrepreneurs (qui se connaissent bien) sur une fonction « support », de type centrale d'achats ou partage de tâches administratives. Puis très vite, il y a la volonté d'organiser les échanges de frets puis de commercialiser une offre transport à l'échelle d'un réseau. L'ensemble de ces étapes devant mener au développement des affaires de chaque entreprise du groupement et renforcer sa pérennité.
Dans cette optique, les unions entre transporteurs indépendants peuvent s'appuyer sur toute une panoplie de cadres juridiques. Mais selon l'adjoint au délégué général, Florian Breton, il n'y a pas de panacée : « Il faut toujours interroger le projet économique avant d'aller plus avant dans l'ingénierie juridico-réglementaire. Savoir ce qu'on veut mutualiser et ce que l
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?