Si la palette s'impose à 90 % dans la manutention, le stockage et le transport des marchandises (250 à 300 millions circuleraient en France), sa gestion ne fait pas l'unanimité et peut opposer clients et prestataires d'une même filière. Le banal outil impose de choisir entre trois modes : la palette « perdue » ; la palette en « échange » (ou « consignée ») ; ou la palette « locative ». Cette dernière formule ayant le vent en poupe. Dans le même temps, sous la pression des industriels engagés dans une démarche de certification d'assurance qualité, la standardisation des palettes au niveau mondial est en marche. Et la montée en puissance de l'étiquette électronique (RFID) ouvre de nouvelles perspectives en termes de gestion.
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