Maximiser la charge utile pour diminuer le nombre de véhicules sur route et réduire la facture globale de transport : l'ambition est partagée par nombre d'enseignes de la grande distribution conseillées par des logisticiens adeptes de la supply chain, des coefficients de remplissage et des taux de rotation. Mais le postulat (qui n'a rien d'incohérent en théorie) peut se heurter à deux réalités. Le terrain où les impondérables sont, par nature, incontrôlables. Et la relation entre le client et son prestataire, mise sous tension. C'est pourquoi les tests « d'optimisation de chargement », entrepris par Système U et Casino par exemple, se veulent prudents et en concertation. Jusqu'où le transporteur est partie prenante ?
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