Expérimentations au compte-gouttes

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Sous l'impulsion des chargeurs, certains véhicules roulent à l'électrique ou au GNV dans la capitale. D'autres initiatives, mises en avant par la Mairie de Paris, permettent un transport sans nuisance, mais aux capacités très limitées. Réduire les déplacements passe aussi par un développement de la logistique urbaine.

Les véhicules propres ont de l'avenir sur Paris. Du moins, c'est ce que souhaite la Mairie, qui encourage l'usage du GNV (gaz naturel pour véhicule) et de la fée électrique pour le transport urbain. Avec l'application de la Charte de bonnes pratiques, les entreprises qui roulent « écolo » bénéficieront d'avantages sur les horaires de livraison. Un atout qui peut paraître maigre face au coût généré par ce genre d'équipements.

Des entreprises ont sauté le pas. C'est le cas de Gefco, qui avait lancé en grande pompe son Renault Midlum électrique de 10 t en octobre 2003. L'opération, menée conjointement par L'Oréal, bénéficiait du soutien de PVI (concepteur du véhicule), d'EDF et de l'ADEME (Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie). Mais, après deux ans et demi d'expérience, force est de

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