L'entreprise, spécialisée dans le transport par bennes céréalières et citernes, a connu un hiver difficile. Entre novembre et février, le problème était particulièrement pointu pour l'activité « céréales » car nous ne trouvions pas de fret retour. Nous chargeons sur les zones portuaires comme Rouen, mais il n'y avait rien à redescendre ensuite. Depuis mars, l'activité a repris quelques couleurs, essentiellement dans les engrais. Notre branche citerne, active dans le nitrate d'ammonium, a connu un hiver également calamiteux. En effet, le prix des matières premières nécessaires pour les engrais suit le cours du pétrole et donc personne ne souhaitait stocker du produit en raison des tarifs élevés. Depuis quelques semaines, la tendance heureusement s'inverse car les besoins d'engrais sont plus nombreux. Sur ce créneau, nous fournissons des usines à Chartres, Rouen et en région parisienne. La société exploite 11 tracteurs affectés à l'une ou l'autre activité selon les besoins. La citerne reste une activité prioritaire car elle procure une plus forte rémunération. En plus, dans ce secteur, il n'y a aucun problème pour négocier les pieds de factures. Le
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