Le « compte d'autrui » doit en profiter

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Evolution du parc en service

Malgré des positions fortes en zone courte, la part du transport privé diminue en France. Quatre filières concentrent l'essentiel du parc en service. La location (avec ou sans conducteur) gagne du terrain.

Le transport privé (« compte propre ») profite-t-il de la difficulté des opérateurs publics (« compte d'autrui ») à fournir des prestations dont les chargeurs ont besoin ? De nombreux industriels du bâtiment, de la chimie ou chargeurs agricoles regroupés en coopératives évoquent la faiblesse de l'offre publique spécialisée à leurs métiers. Ils se déclarent obligés de s'équiper face à la banalisation du parc. A juste titre ?

Comparé au transport public dont la rentabilité de l'outil de production (flotte et conducteurs) dépend du temps de roulage et du coefficient de remplissage, le compte propre peut être considéré comme peu ou pas optimisé et coûte plus cher. Exception faite des grandes flottes privées du BTP et des coopératives agricoles, dont les parcs sont ajustés sur un volume à transporter minimum et récurrent, complétés au quotidien et lors des pics par de la sous-traitance.

Pour d'autres, la pro

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