Dans les années 90, lorsqu'on dessinait l'implantation des principaux messagers, apparaissaient des réseaux dotés d'une très large couverture nationale. D'une part, de nombreux « grands régionaux », sur plusieurs régions, desservaient l'Hexagone via des accords de correspondances. D'autre part, les réseaux dits « nationaux » faisaient appel à d'autres confrères pour desservir des zones importantes. Les temps ont changé et avec eux, l'organisation des plans de transport. Les grands messagers français livrent en propre l'essentiel de leurs envois et ne sous-traitent plus du fret entre eux. Si les réseaux plus anciens privilégient les systèmes d'étoile routière, les plus récents préfèrent les hubs régionaux, les plateformes de transit et... les tractions directes entre agences.
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?