Il existe deux catégories d'acheteur : ceux qui veulent d'abord « toucher »; et ceux qui veulent « toucher » ensuite. Les premiers ont à leur disposition des parcs VO plus ou moins bien achalandés, sous les enseignes constructeur ou non (agents, négociants, mises aux enchères...). Les premiers acheteurs sont une minorité alors que les seconds ont aujourd'hui sous la main toute une panoplie d'outils avec des offres visibles sur papier (la presse spécialisée à l'instar de L'Officiel des Transporteurs qui publie chaque année de 300 pages d'annonces classées) ou sur écran (émergences des sites internet).
Le phénomène internet dans le commerce du VO n'est pas anodin. Les stocks disponibles sur la toile sont légion et présentés de façon de plus en plus structurée (l'appoint des image y est beaucoup), qui permettent d'avoir une vision élargie de
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