Une relève qu'ils ont anticipée en début d'année en embauchant deux jeunes en contrat de professionnalisation à durée déterminée de neuf mois. Le premier vient de décrocher un poste de conducteur en CDI, le second devra attendre mi-novembre. « Ils ont profité de leur formation pour passer la FIMO, le permis matières dangereuses et cariste », témoigne Géraldine Grellier, assistante de direction au sein de la société spécialisée dans le vrac. Financièrement, elle juge le niveau de prise en charge du contrat de professionnalisation plutôt intéressant, comparé à l'ancienne formule du contrat de qualification. Le plus difficile étant « de recruter une personne motivée et qui ne réside pas trop loin de l'entreprise. Nous leur demandons de venir tous les samedi matin assister à l'entretien du parc. Ils doivent apprendre à diagnostiquer une panne et à changer une roue » explique Géraldine Grellier qui embauche essentiellement par bouche-à-oreille. Le nombre de contrats de professionnalisation conclus au premier se
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