Quelle que soit la sémantique choisie (manque de camions, pénurie, rééquilibrage entre l'offre et la demande...), la réalité du déficit de véhicules a agité les esprits en 2006. Des marchandises sont restées à quai, les affrétés ont disparu, les coûts de sous-traitance ont grimpé sous l'effet des urgences. La chaîne logistique est-elle à l'abri en 2007 de nouvelles tensions qui impacteront forcément les prix de transport ? Au-delà des éléments structurels du coût de revient (main d'oeuvre, gazole, matériels, péages et taxes...), il y a les comportements. « La mentalité des transporteurs change. Vu l'augmentation des coûts kilométriques et la faiblesse des résultats d'une majorité d'entreprises, la raiso
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