«L'écologie est le fer de lance d'une campagne électorale présidentielle pour laquelle de nombreux candidats ont souscrit. C'est une bonne prise de conscience de la part de ceux qui veulent sauver la planète en voulant réduire les émissions de gaz à effet de serre. A droite comme à gauche, la phobie du camion, qui adhère parfaitement à l'opinion générale des électeurs en la matière, est devenue le leitmotiv du combat qu'il faut engager pour résoudre une partie du problème du réchauffement de la planète. Ce que l'on oublie de préciser, c'est que le camion, de par ses nouvelles conceptions, a anticipé depuis longtemps la prise de conscience de nos candidats. Après avoir divisé par dix ses émissions polluantes, ce qui est considérable, il n'a jamais été cité comme exemple par ceux qui prétendent détenir les solutions miracles en inventant de nouvelles taxes. L'argent n'ayant pas d'odeur, il a sans doute le pouvoir d'avoir un effet neutralisant
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