A l'heure de la mondialisation des flux et des échanges, la plupart des groupes français mettent l'accent sur leur développement international. Soit au niveau planétaire, soit au plan européen. Leurs dirigeants avancent en général deux arguments pour justifier cette politique. D'abord, elle est nécessaire pour répondre à la demande de nombreux clients qui, eux aussi, sortent (ou sont déjà sortis) des frontières de l'Hexagone. Ensuite, elle permet d'éviter de rester prisonnier d'une économie française dont la croissance est plus faible que celle en vigueur d'autres zones.
Le groupe Heppner (93), qui, sans quasiment aucune implantation à l'étranger, réalisait 53,6 % de ses flux à l'international en 2003, a jugé utile de renforcer sa présence dans le marché français par le rachat
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