Force est de constater que, pour l'heure, les projets en matière d'autoroutes de la mer ne sont pas légion. Ce ne sont pourtant pas les incitations qui manquent. Celles notamment de l'Union européenne qui intervient à hauteur de 35 % dans les projets financés par les entrepreneurs (programme Marco Polo dont la 2e édition a été lancée lors de la SITL). Car les pressions environnementales ne se relâchent pas en Europe. Avec elles, c'est l'avenir du transport routier, mode régulièrement montré du doigt, qui est posé. C'est d'autant plus vrai, qu'outre les questions d'ordre écologique, l'épouvantail de la congestion des axes routiers européens est régulièrement agité par les tenants d'« un transport citoyen ».
Ici et là fleurissent néanmoins quelques initiatives locales dans les ports autonomes (Nantes, par exemple), chez les armateurs voire également chez les transporteurs routiers. Arlésienne ou terre pr
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?