Quelle est aujourd'hui la mission du GTA et de ses 15 membres ?
G. S. : Il nous permet d'abord de travailler intelligemment, d'échanger des volumes pour éviter les retours à vide. La secrétaire envoie un fax tournant aux membres, à chacun de réagir selon ses disponibilités.
Chercherez-vous à aller plus loin en termes d'organisation commune ?
G. S. : Nous nous sommes posé la question. Nous pourrions nous inspirer d'un concept comme celui d'Astre. Mais notre groupement manque de moyens. Nous sommes pour l'instant membres d'un groupement d'achats et de services, ASTR, qui négocie pour notre compte avec des prestataires comme Igol, Gras Savoye, Brittany Ferries, Shell...
Votre secteur d'activité souffre-t-il d'un manque de conducteurs ?
G. S. : Oui. Et l'une des solutions consisterait à s'orienter vers les maisons familiales, ces métiers qui forment aux métiers agricoles et manuels.
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