En quête de nouvelles solutions

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En quête de nouvelles solutions

Les entreprises de transport d'animaux vivants peinent à répercuter leurs coûts sur les prix de vente. Leurs clients de la filière viande (les abattoirs surtout) n'ont pas le moral au beau fixe. Aux yeux de certains, l'avenir passe par la diversification. A défaut de regroupement.

Il reste entre 150 et 200 entreprises de transport d'animaux vivants en France, selon la FNTR. La grande majorité d'entre elles possède entre trois et cinq bétaillères. Maillon (essentiel) de la filière viande, ce secteur doit composer périodiquement avec des obligations de mises aux normes sanitaires et vétérinaires dictées par les États ou l'Union européenne (voir article par ailleurs). Une situation qui se traduit par des investissements en série sur les ensembles ou le matériel (125 000 euros une bétaillère neuve, aux toutes nouvelles normes, en moyenne).

Mais en toile de fond, la profession est confrontée à une clientèle (abattoirs, commerçants en bétail et centres d'allotage) en proie à une conjoncture peu portée par la croissance. Principal débouché des transporteurs : les abattoirs (au nombre de 325 en France). Ces derniers doivent

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