Pour travailler au froid, positif ou négatif, il « suffit » de bien s'habiller : oui, mais pas seulement... « Je ne reste jamais plus de 45 mn dans l'entrepôt. Je m'arrête pour me réchauffer au bureau, prendre une boisson chaude ». Ce cariste de NJS Faramia, à Vitrolles, travaille à - 22°, une température idéale... pour les crevettes surgelées ! La fréquence des périodes de réchauffement n'est pas réglementée mais laissée à l'appréciation de chacun, la résistance physique étant très variable d'une personne à l'autre, voire d'un jour à l'autre. Le risque le plus courant : les engelures. « Dès les premiers picotements au bout des doigts, il faut sortir », explique Norbert Milanta, directeur du développement de NJS Faramia, qui connaît les symptômes lors des inventaires. Travailler dans le froid exige un équipement adéquat, qui doit comporter trois couches : l'une près du co
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