Péages sous surveillance

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L'heure est-elle venue pour les sociétés d'autoroutes, en France, d'expliquer leurs politiques tarifaires, le montant de certains péages et leurs évolutions annuelles ? Sans préjuger des conclusions, une enquête menée par la Direction de la concurrence et de la répression des fraudes (DGCCRF), depuis juillet, de concert avec la Direction générale des routes, donne corps à la question initiale. Parmi les motifs de fâcherie, il y a cette façon de présenter publiquement un taux moyen d'augmentation en général... pour mieux, en particulier, gonfler le prix des péages sur les tronçons les plus fréquentés. La pratique a été pointée du doigt. Depuis la privatisation des sociétés d'autoroutes, actée en décembre 2005, les usagers, associations ou organisations professionnelles, demandent aux pouvoirs publics un supplément de vigilance sur le prix des péages. Le entreprises de transport, contributrices à hauteur de 37 % du chiffre d'affaires total des autoroutes (alors que les PL de classes 3 et 4 « ne » représentent que 16 % du trafic), ont le droit de s'associer à cette demande de transparence. La hausse moyenne pondérée pour les deux classes est de 3,4

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