Au prix d'un souci constant de recherche de la rentabilité, l'entreprise fonctionne correctement. Le transport de matériel technologique, dans le secteur médical, avec prestations d'installation sur site, en province (15 % du chiffre d'affaires) se montre moins vulnérable à la concurrence, compte tenu du savoir-faire qu'il requiert. Mais, globalement, les prix de vente continuent de s'effondrer.
En sous-traitance, les pratiques des donneurs d'ordres se font de plus en plus violentes. Comment peuvent-ils encore escompter des baisses de nos tarifs alors que ces derniers sont déjà au minimum. Voire en dessous du minimum pour certains. On attend que nous satisfassions à des exigences de plus en plus sévères liées aux préoccupations environnementales (équipement en véhicules électriques ou au gaz notamment), mais personne n'est prêt à en payer le prix.
Dans ce contexte, la mise en application, dans nos entreprises, de la convention collective «coursiers» se heurte à des difficultés. En outre, elle rigidifie notre manière de travailler avec la production de feuilles de temps «papier» alors que nous avons l'informatique pour effectuer de telles tâches. Un point po
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