«Sans verser dans le réflexe « bien français » de la critique destructrice lorsqu'une initiative est bonne, force est de constater que ce Grenelle de l'Environnement, victime de son succès, risque de passer à côté de ce pourquoi il a été organisé [...] Face à l'immensité de la tache, on est en droit de s'interroger sur le rythme effréné sur lequel les débats sont menés [...] Le temps de parole octroyé aux provinciaux apparaît bien court et réducteur vu l'impossibilité pour certaines professions de s'exprimer.
C'est la triste constatation que notre métier a faite à Nice, le 8 octobre. Présentes dès le matin pour participer aux ateliers de réflexion, nos organisations ont été contraintes de rebrousser chemin pour revenir à la séance publique de 14h30. Il nous a été expliqué qu'avec plus de
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?