L'Unostra sous tension

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Les prochaines élections qui désigneront la tête nationale de l'Unostra, le 20 décembre, vont-elles lui permettre de clarifier sa situation vis-à-vis de ses adhérents, de son environnement et des pouvoirs publics ? Elles obligeront surtout l'organisation professionnelle à se situer dans le paysage syndical en évolution. Et vont lui imposer une plus grande discipline, nécessaire pour être crédible sur le fond des dossiers et audible dans la communication. Car l'image de l'Unostra est brouillée, parasitée. Les passes d'armes les plus récentes (transfert de l'Unostra Savoie sous les couleurs de TLF ; fronde activée par trois présidents de région en Bretagne, Nord/Pas-de-Calais et Franche-Comté/Bourgogne) inspirent plus d'inquiétude que de sérénité dans les rangs. Même s'ils sont l'expression d'une opposition démocratique, les remous internes d'une certaine ampleur laissent dubitatifs. Le risque d'affaiblissement est d'autant plus sérieux que l'Unostra cherche à trouver sa place entre la FNTR, TLF, et... l'OTRE qui pied à pied élargit sa zone d'influence au nord de la Loire, jusque dans les cabinets parisiens. Faut-il forcément un coupable ? La président

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