Le niveau des trafics est assez mou depuis début septembre, malgré un pic observé à la mi-octobre. La flambée du prix du gazole n'aide pas. Nous arrivons à répercuter le surcoût auprès des principaux clients mais pas à hauteur de 100 %. Sur les commandes « spot », on inclut l'augmentation carburant dans les revalorisations tarifaires, en rajoutant quelques euros. Dans le cadre des prochaines négociations des contrats à l'année en revanche, nous ne savons toujours pas comment répercuter. Nous avons arrêté deux activités trop peu rentables : le transport de produits textiles et de palettes de bouteilles d'eau. Nous misons aujourd'hui sur l'acheminement de frets industriels (automobile, produits dangereux...) et d'articles « bazar » dans les boutiques des centres commerciaux de la région parisienne. Nous sommes sur le point de signer de « gros dossiers », notre positionnement sur l'axe géographique Nord-Sud aidant. Nous assurons aussi des opérations promotionnelles d'un mois de certaines enseignes. Si celles-ci veulent que tel produit soit livrer en même temps dans une centaine de boutiques en France, nous le faisons avec nos propres camions dans la plupart
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