En rachetant Robin-Chatelain en 1986, Jean-Jacques Le Calvez ne pensait pas connaître un tel développement dans un secteur qu'il ne connaissait guère. Bien vu ! C'est à partir des années 2002-2003, qu'une révolution culturelle est intervenue. Avant cette date, l'entreprise transportait des produits frais, mais les surgelés ne représentaient que 10 % du chiffre d'affaires avec quelques clients d'opportunité. « Je sentais bien qu'il y avait un fort potentiel dans le surgelé », se souvient Jean-Jacques Le Calvez. « Alors, nous avons décidé de réaliser une étude complète avec l'aide d'écoles de commerce (l'Escae Brest, sections logistique et agroalimentaire, ndlr) ». Il ressortait que 60 % de la production de surgelés provenait du grand Ouest avec un nombre limité d'acteurs sans structures nationales organisées sur ce segment. De plus, Noyal-sur-Vilaine (35), siège
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?