Avec une dizaine de porteurs et quatre semis dédiés, la part du petit lot, marché que nous avons abordé il y a une dizaine d'années, est passée de 15 à 25 % de notre CA en trois ans. Nous nous appuyons sur le réseau POLE (Palettes Organisation Logistique Européenne) que nous avons monté avec 8 autres entreprises et ses deux plateformes à Marmande (47) et Orléans. De notre côté, nous nous apprêtons à construire un bâtiment destiné à l'entreposage et à la manutention des porteurs avec 15 portes à quai et pour un coût compris entre 800 000 € et 1M€. Jusqu'ici cet investissement n'était pas utile - le groupe Lu a son propre système logistique - mais d'autres clients nous ont sollicités.
Côté grande distribution, les enseignes «traditionnelles» font des efforts tarifaires, conscients d'un rapport plus sensible entre l'offre et la demande de transport. Et cette tendance perdure même si l'activité, bien que soutenue, n'est pas au top. En revanche, les prix de transport pratiqués par les «hard discounter» sont en rapport avec le niveau de leurs étiquettes. Quasi identiques aux années 2001-2002 ! Résultat : nous réduisons notre présence sur ce marc
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