L'exploitation entre en classe

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Contrairement à leurs collègues au volant ou à quai, les exploitants ne sont pas tenus de se former régulièrement. Mais le métier a tellement évolué que leur cursus initial et leur expérience du terrain ne suffisent plus. La formation continue devient un passage obligé et l'employeur doit trouver la parade pour les remplacer.

La formation ? C'est le terrain, le terrain, le terrain, scande la majorité des exploitants. Comment, en effet, apprendre l'urgence, l'adrénaline et cet art si particulier de la relation avec les conducteurs et les clients ? « Il y a encore beaucoup d'autodidactes, avance Michel Lhermitte, directeur d'exploitation chez Vos Logistique à Lyon, à la tête d'une équipe de 14 personnes. Moi-même j'étais oenologue à l'origine. L'exploitation, il faut s'y mettre et se passionner : c'est un casse-tête chinois permanent. J'ai déjà vu des jeunes très bien, diplômés d'un BTS exploitation, mais qui, une fois derrière la table, étaient perdus. Les formations initiales sont bonnes, mais elles ne tiennent pas toujours assez compte de la pratique ». Avoir la foi dans le terrain ne suffit pas toujours. Et c'est là

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