« Grand moratoire » sur le « choc péage »

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Francis Babé, délégué à l'action professionnelle de la FNTR, et Stéphane Levesque, chargé des routes européennes et des transports alternatifs de TLF, précisent les approches et revendications de leurs organisations respectives sur le dossier des péages. Des convergences de vue existent.

Quelles réflexions vous inspire l'enquête du CNR ?

Francis Babé : Il y a un indéniable « choc péage ». Et la volonté politique de voir augmenter les tarifs autoroutiers. Quand les réseaux se sont constitués, on a pratiqué des prix d'appel. Aujourd'hui, l'autoroute est structurellement indispensable pour l'activité économique du pays et de ses entreprises, alors les prix augmentent, sachant que les reports vers les autres routes resteront marginaux.

Stéphane Levesque : Depuis six ans, les tarifs des péages pour les poids lourds de classe 3 et 4 ont, en moyenne pondérée, ont augmenté de 3,3 % chaque année. Cela représente le double de l'inflation. Le tarif moyen pour les classe 4, qui masque de grandes disparités selon les réseaux, est évalué pour 2007 à 21,5 centimes d'euro par kilomètre parcouru, soit une augmentation de 4,8 % en de

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