L'O.T. : Avez-vous été surpris par l'initiative de Stef-TFE de faire payer un euro par palette transportée ?
D. T. : Non parce que nous travaillons toute l'année avec Stef-TFE. Sa décision n'a donc pas eu d'effet déclencheur chez nous. Nous avions déjà imaginé, par exemple, un système pour « éviter le bois » dans les camions : empiler les marchandises plutôt que les palettes. Une piste prometteuse.
Moins utiliser de palettes est devenu une priorité pour Carrefour ?
D. T. : Carrefour est décidé à jouer un rôle moteur pour mieux gérer les emballages en général. Les palettes en font partie. Il faut en prendre soin, rationaliser leur usage. Actuellement, industriels, transporteurs, distributeurs, toute la filière perd de l'argent dans cette affaire. Un chantier important s'ouvre. Nous le traiterons ensemble. C'est important si nous voulons c
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