Ses étudiants incarneront la « rupture » du développement durable. C'est le nouveau credo de l'Institut supérieur de logistique et du transport (ISLT) de Montaigu, en Vendée. Virage « vert » d'une école plus réputée jusqu'ici pour l'efficacité de ses diplômés que pour leur imagination. A leur sortie du BTS ou après une 3e année supplémentaire, ils étaient manageurs, bons techniciens. Foi de Vendéen, ils seront aussi des « créatifs » en ingénierie environnementale dans le transport et la logistique. Gaëlle Fauchard, responsable de formation, est à la manoeuvre. La première génération «verte» de l'ISLT débarquera sur le marché en 2009.
Le nouveau cap a été décidé en octobre. A L'ISLT, c'est le moment où les diplômes sont distribués par un jury truffé de cadres des entreprises voisines : Dachser-Graveleau, Schenker-Joyau, TFE, DHL, Fleury Michon, Sodebo, Arrivé (le volailler Maître Coq), Armor, Système U. L'ISLT a vérifié auprès d'elles
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