«Trans BK, bonjour ! Deux mètres de plancher ? Pour 16h 30 cet après-midi? Un instant, je vérifie... » Le combiné contre l'oreille droite, Julien Galdeano, exploitant de la société Trans BK, à Corbas (69) empoigne son portable de la main gauche pour appeler un chauffeur. Le café attendra. Calé entre fixe et portable, le jeune homme démarre un lundi après-midi, « plutôt tranquille », dit-il. Pourtant, le service d'exploitation nationale résonne d'appels téléphoniques, du cliquetis des claviers et des bruits de la salle d'à côté, dédiée elle à l'exploitation régionale. Régulièrement, des chauffeurs se présentent derrière le comptoir. Si l'exploitation est bien une activité sédentaire, ce n'est pas, en revanche, un « boulot » de tout repos.
« Il n'y a jamais de monotonie dans ce métier, confirme Julien Galdeano. Chaque matin est un nouveau jour. Honnêtement, j'ai eu le coup de coeur... » Petit, pourtant, il n'avait jamais vraiment
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