« Oui au basculement modal mais pas d'intégrisme antiroutier »

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La réflexion du rapporteur spécial du budget des Transports, Hervé Mariton, nourrit le débat sur le financement des infrastructures et les relations des parlementaires avec les organisations professionnelles.

Votre rapport budgétaire pointe le manque de financement de l'Agence de financement des infrastructures de transport (AFITF) avant même l'impact du Grenelle de l'environnement. Quel est votre commentaire global sur le financement des infrastructures de transports terrestres ?

H. M. : Je suis frappé par le décalage entre l'ambition affichée de la politique d'infrastructures et la qualité des moyens à disposition. Mon rapport budgétaire stipule, en effet, qu'il manque- d'ici à 2012-une dizaine de milliards d'euros, somme alourdie par le coût du Grenelle. On manque d'argent et pour trouver des pistes de financement, un certain nombre de réflexions ont vu le jour : mobilisation du partenariat public-privé (PPP), augmentation de certaines ressources, taxe poids lourd.

L'innovation majeure, c'est la taxe poids lourd, soit 1,2 milliard d'euros de recettes. L'examen du texte Grenelle 1 avant l'été précisera s'il y aura ou non un

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