Les devoirs politiques de Geodis

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Les grandes manoeuvres à la tête de Geodis et de la branche fret de la SNCF, officialisées le 19 février, n'ont rien d'anodines. La « lecture » ne peut se borner au constat d'un jeu de chaise musicale, aux seules répercussions internes. Organisée par Pierre Blayau, P-dg de Geodis et directeur général délégué de la branche Transports et Logistique de la SNCF, la réorganisation du staff répond à un enjeu politique, suivi de près en haut lieu (Nicolas Sarkozy n'est jamais très loin !), qui dépasse le simple cadre de l'entreprise publique. Dans la continuité du Grenelle de l'environnement, qui impose des objectifs de réduction de CO2 et de gaz à effet de serre, l'entreprise (sous la double entête SNCF et Geodis) doit initier le mouvement du multimodal et le concrétiser dans les faits. La pression politique est réelle. Conduit par les ministères chargés de la recherche, des transports, de l'environnement et de l'industrie, le Predit 4, tout juste inauguré au début février, doit dessiner le futur des transports terrestres (routier, ferroviaire et fluvial). Il va devoir imaginer, à horizon 2012, de nouvelles organisations de transport. Avec ce credo : privil

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