Le 10 septembre dernier, le groupe avait dû déposer le bilan de ses deux sociétés, Laroche Peltier Industriel (transport pour le compte des enseignes de bricolage) basée à Azay-le-Brûlé (79), et Laroche Frigeline (transport frigorifique), installée à Saint-Jean-de-Védas (34). En janvier, les dirigeants ont été contraints de mettre en place un plan social chez Frigeline, suite à « la perte d'un gros client ». Un plan qui portait sur 18 postes dont neuf conducteurs. Par ailleurs, la baisse drastique des flux qui sévit dans l'industrie doit déboucher également sur l'adoption d'un second plan social, cette fois-ci chez Laroche Peltier Industriel. Le groupe piloté par Catherine Rebeyrol employait 330 salariés (dont 260 conducteurs) au moment de la mise en redressement judiciaire. Sa flotte comptait 140 véhicules. Au 31 décembre 2007, Laroche Peltier Industriel avait réalisé un chiffre d'affaires de 13,2 M€ pour un volume de pertes de 624 k€. De son côté, Frigeline avait génér
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