Une détention de six mois (depuis le 30 janvier) liée au dépôt d'une plainte pour abus de confiance déposée par le groupe Bassigny (89), loueur de camions (disparus dans la nature) dans le cadre de l'affaire Redolfi. Mais Dominique Boig n'en a, semble-t-il, pas terminé avec la Justice. Il vient également d'être mis en examen par un juge d'instruction de Rouen, dans le cadre de la tentative de reprise controversée (L'OT 2484) du groupe Chevallier (76), lequel comprend notamment la société Transéclair (95). Selon une source proche du Parquet d'Auxerre, Dominique Boig est poursuivi dans ce dossier pour faux, usage de faux, abus de biens sociaux, escroquerie en bande organisée et banqueroute. Pour l'heure, quatre parquets (Rouen, Auxerre, Chambéry et Montpellier) ont lancé diverses enquêtes et procédures à l'encontre de Dominique Boig. « Le ministère a compris tout l'intérêt de cette affaire. Les parquets s'en
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