La nouvelle réglementation européenne sur le cabotage vise à renforcer les contrôles. Quels sont vos objectifs et combien de contrôleurs sont dédiés à cette mission en région Languedoc-Roussillon ?
J-C. M. La politique de la DRE répond à deux objectifs annuels. Effectuer 600 contrôles sur route en moyenne et intervenir dans près de 270 entreprises. Ces deux objectifs sont validés par un plan régional de contrôle et par un plan régional d'entreprises. Sur route, les contrôles sont programmés chaque trimestre. Nous intervenons avec les forces de l'ordre (Gendarmerie, Douanes, CRS). La règle consiste à inclure dans le panel 50 % de véhicules étrangers et 10 % au moins de marchandises dangereuses. Pour ce qui est des contrôles en entreprise, nous vérifions au minimum un mois d'activité. Pour toutes ces opérations, la DRE fait appel à une équipe de 26 agents sur un effectif total de 190 personnes.
Depuis le 1er mai, les entreprises de transport de sept pays de l'Est (1) peuvent caboter en France. Quelle est votre analyse ?
J-C. M. Le problème du cabotage est lié à la question des moyens de contrôle en région. Nous contrôlons en priorité les affrétés
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