Cette décision du TGI de Lyon fait suite à une plainte déposée à titre personnel (en tant que salarié et délégué syndical CFDT) par Christian Cottaz et son syndicat. Ce dernier a fait constater par huissier l'existence de quatre caméras installées, selon lui à l'insu du CE et des salariés, en novembre sur le site de Saint-Priest et découvertes en mars. Ce mini-réseau fonctionnait en parallèle avec un autre réseau de caméras, mis en place de longue date et connu, lui, des salariés. Selon Me Georges Meyer, avocat de Christian Cottaz, les deux réseaux n'ont pas respecté l'obligation de déclaration à la CNIL (Commission Nationale Informatique et Libertés). « Nous allons nous conformer à cette décision de justice. Ces caméras vont être réinstallées apr
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?