En temps de crise et d'instabilité, dans les univers professionnels, l'information est sensible. Non maîtrisée ou choisie, elle peut se confondre aux rumeurs. Lesquelles, plus ou moins bienveillantes, peuvent se nourrir désormais des abondants canaux d'internet et supports numériques, pour porter préjudice. Les entreprises qui connaissent des périodes troublées et pour certaines abordent la zone rouge des procédures collectives, en connaissent les méfaits, palpables en interne (les salariés) comme dans l'environnement (confrères, clients, fournisseurs...). Faut-il alors se cacher et laisser « radio bitume » et le buzz fonctionner à plein ou... briser les on-dit en faisant connaître sa part de vérité ? C'est le dilemme, qui doit - sans échappatoire - faire l'objet pour chaque chef d'entreprise d'une réflexion poussée. L'arme de la communication (à ne pas confondre avec la transparence) est à double tranchant, à manier avec précaution, en connaissance de causes et d'effets. Deux exemples tout récents indiquent une prise de conscience dans une profession habituée au « pour vivre heureux, vivons caché ». En Bretagne, les Transports Corre ont sans attendre
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