Il ne cache pas qu'il est actuellement tourné vers la recherche d'« une solution financière ou industrielle » pour assurer la pérennité de son entreprise qui compte 1350 salariés. Dans le premier cas, la voie choisie serait l'augmentation de capital et son ouverture à des investisseurs. Dans le second, elle consisterait à s'adosser à un grand groupe (Geodis serait sur les rangs). Jacques Caillé assure qu'il est ouvert aux deux solutions. « Dans les deux cas, nous sommes en discussion avancée », déclare le patron et actionnaire majoritaire de Cool Jet, via la holding JC Invest One. Ce dernier annonce des chiffres à fin mai, dont un recul de 5,7 % en volumes, « plutôt bons par rapport à nos confrères ». « Cool Jet possède une trésorerie positive. Sa dette est nulle et ses actifs se montent à 17 M€ », souligne le dirigeant. Lequel, contrairement aux objectifs fixés dans le cadre de son business plan à
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?