L'analyse du Grenelle de la mer au Conseil national des Transports a une nouvelle fois mis en évidence le poids du lobby écologiste. Comme pour le premier Grenelle, la composition des groupes a été délibérément élaborée pour qu'on privilégie les aspects environnementaux par rapport aux dimensions sociales et économiques. Pour le TRM, l'écotaxe est maintenant largement « dans la seringue ». Il faudra y ajouter à peu près à la même date (2011) la taxe carbone ou CCE (contribution climat énergie). L'objectif de cette dernière taxe serait de rendre visible le prix réel des produits en intégrant le coût carbone. Plusieurs observations peuvent être faites à l'égard des enjeux de cette nouvelle fiscalité.
Il s'agit d'abord d'une mesure franco-française même si on en parle ailleurs. Une taxe qui viendra donc augmenter le niveau
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